« C’est que du bonheur » dixit la/le mamounette/papounet qui a des cernes violacées, la condition physique de son grand-père, trois heures de sommeil cumulés sur la semaine en cours et envie de pleurer toutes les huit secondes. Non, être parent c’est pas tout le temps marrant.

La perte d’audition

Le cri d’un bébé peut monter jusqu’à 120 décibels – il serait peut-être temps de s’inquiéter d’ailleurs. Bénéfice/risque ? Être sourd c’est ne plus les entendre hurler.

Le mal de dos

Si l’enfant, les tout premiers instants de sa vie, ne pèse pas bien lourd sur la balance, il va grandir, grossir, réclamer pour un oui pour un non le réconfort en acier trempé de votre parentalité. Mais à force de le ramasser, c’est le dos qui ramasse à son tour. Heureusement, on a quelques conseils pour lutter contre le mal de dos.

La prise de poids

Qu’elle soit liée au processus de la grossesse et/ou à cet état symptomatique dans lequel le mâle peut se vautrer appelé « couvade ». Ces kilos, vous n’en vouliez pas et vous allez un peu souffrir pour les dégager. De tout coeur avec vous.

Moins de temps pour l’activité physique

Tout type d’activité physique (si vous voyez c’que j’veux dire hein… ok, je suis lourd). Qui dit moins de sport – car plus de temps accordé à leur petit nombril – dit sédentarité et masse musculaire qui fond comme esquimau sur banquette arrière de Scénic.

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La dentition à force de serrer les dents

Les enfants font n’importe quoi (c’est normal, ils apprennent) et s’évertuent à ne pas écouter vos conseils (c’est normal, vous êtes nuls). A force de prendre sur soi et serrer les dents, on peut se péter un peu d’écaille… ou pire. On respiiiiire. On expiiiiire.

Le manque de sommeil

L’année suivant la naissance de l’enfant, un jeune parent dort en moyenne 4 heures et 44 minutes. C’est peu. Très peu. Trop peu. Et le pire c’est que ça va durer six ans.

Trouble cardiaque, cholestérol, diabète...

Tout ces emmerdements sont intimement liés à ce sommeil merdique que vous expérimentez depuis l’avènement de Corentin 1e, roi des brise-noix et du dodo qui répare. Pour parer à ce drame voici quelques conseils pour aider votre enfant à dormir.

Leurs miasmes sont vos miasmes

L’enfant ramène toute sorte de saloperies infectieuses de la crèche/école/collège/lycée. Si eux récupèrent vite, une maladie infantile chez un adulte ce n’est pas la même paire de manche. Allez expliquer à votre boss que vous ne venez pas au boulot les quatre prochains jours parce que vous avez les oreillons.

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Loin de nous l’envie de vous interdire de procréer mais vous êtes prévenu.es : les 30 premières années de vie d’un enfant vont vous esquinter. Prends soin de toi la famille.