Noël, c’est parfois l’angoisse, mais c’est toujours moins l’angoisse que de devoir choper des cadeaux à tout le monde. Déjà, il y a cent fois trop de monde à qui faire des cadeaux et ce même si on fête Noël à deux ; ensuite, il faut faire plaisir, être original, et ne pas vider son PEL. Bref, un casse-tête, dans les odeurs de parfum et la foule des magasins, dans le froid, dans l’ennui et l’envie de pleurer. La magie de Noël, quoi.

L'ignorance

– Y’a un truc qui te ferait plaisir, dont tu aurais besoin ?

– Non, rien de spécial.

– Papa, dis moi, merde !

– Prends moi ce que tu veux.

Crédits photo : College Humor

L'avarice

– C’est parf… Ah non.. (25 dollars)

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L'indifférence

– C’est quoi ces merdes… ? Bon de toute façon les enfants, tu peux leur offrir n’importe quoi ils sont contents. Et puis toutes les tantes aiment les bougies. Non mais ils attendent quoi ? Des trucs cool ?

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La procrastination

– Ah bah voilà, ça, ça ferait plaisir à papa ! Je vais le prendre.

(Livraison prévue le 2 janvier)

– Oh merde !

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Le doute

– Non mais t’emmerde pas à m’acheter un cadeau, hein.

– Ah euh dac. (Est-ce que ce serait bizarre d’offrir un cadeau à tout le monde sauf à elle ? C’est peut-être un test…)

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L'égoïsme

– Hey mais c’est trop cool, ça ! En plus je le mérite au vu de toutes les souffrances que je me suis infligées.

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Tout ça pour décorer un pied de sapin, merci.

Source : College Humor