On y est, Final Fantasy VII a 20 ans et les plus vieux d’entre vous se souviennent sûrement d’avoir inséré le premier CD dans leur Playstation rutilante et de s’être extasié de longues heures devant un jeu aujourd’hui devenu culte. Avant de voir prochainement débarquer le remake, on s’est demandé pourquoi FFVII reste encore aujourd’hui un must-have.

Parce que Cloud Strife et son épée géante

Alors peut-être que comme moi vous l’aviez renommé (« CLéclé87 » si je me souviens bien) mais il faut reconnaître que Cloud Strife puait la classe. Entre sa tignasse blonde Saiyanesque et son Épée Broyeuse, il était le héro parfait pour nous accompagner au long des 3 CD de l’aventure.

Parce qu'il nous a montré que ce que la Playstation avait dans le ventre

Quand FFVII a débarqué, la Playstation n’avait pas encore montré tout ce qu’elle avait dans le bide, et visuellement le RPG de Yoshinori Kitase a bluffé tout le monde. Alors c’est sûr qu’en les revoyant aujourd’hui on peut les trouver datés mais à l’époque c’était la folie totale. Regardez-moi cette beauté :

Sephiroth bordel, Sephiroth

L’ennemi que j’aurais aimé être, le mec qui veut faire du mal aux gens pour devenir le plus puissant, ça me parle. Je fais pareil au Monopoly. Rien de repenser au combat final j’ai des frissons.

Il y avait une intrigue riche et complexe

Vu le début plutôt brutal, d’aucuns diraient in media res, on pouvait s’attendre à du bas du front, sauf que l’intrigue de FFVII s’épaississait à chaque minute et sans totalement nous paumer, on était face à quelque chose de bien fourni.

Le système de Materia était parfait

Les combinaisons sans fin, les réflexions tendues pour savoir quoi placer sur quelle arme, bon j’avoue qu’aujourd’hui je serais un peu largué mais après le fastidieux tuto de Barret sur le sujet ça devrait revenir facilement. On part sur un Feu + Vol simultané et Feu + Coupure supplémentaire ok ? OK.

Crédits photo : Wikihow

On avait déjà ce frisson d'un monde immense à découvrir

Si vous ne vous accrochiez pas, vous pouviez vous dire que déambuler éternellement dans les districts de Midgar était un peu relou mais une fois que vous aviez accès à la map entière c’était une autre musique. Des centaines de recoins à explorer, des grottes, des villes et des villages, des marais, des plaines, à pieds ou à dos de Chocobos, ce sentiment de liberté était grisant.

Source photo : finalfantasy

On pouvait passer des heures à attraper et dresser des Chocobos, sans suivre la quête principale

Parce que la quête principale et la défaite de Sephiroth était quand même un peu stressante, on pouvait facilement la laisser de côté pour se lancer à fond dans le business des Chocobos. Capture, élevage, courses, il y avait un véritable jeu dans le jeu et c’était totalement prenant.

On pouvait se détendre sur moult mini-jeux

Et si les chocobos vous faisaient chier, vous pouviez toujours vous rabattre sur les mini-jeux du Gold Saucer comme le Speed Square par exemple ou le Golden Square.

Parce que Barret

Des gros muscles, un gros flingue greffé au bras et un cœur gros comme ça, c’est Barret, le terroriste d’AVALANCHE vite rattrapé par des soucis bien plus importants. Barret c’était notre gars sûr, qui rafalait de loin et qui était toujours là pour toi.

Source photo : finalfantasy

Parce que musicalement ça se réécoute sans transpirer

Vous avez 4h30 devant vous ? Oui, sûrement.

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Il n'a pas souffert, promis

Parce que les boss étaient fous

Vous êtes prêts, votre équipe est parée, vos materia équipées et là c’est parti, des boss de Shinra, Jenova ou Sephiroth, tous différents, tous insupportables, tous géniaux.

Rah bordel je ressors ma PS ce soir il faut que je retourne à Midgar.