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HELLO LES TOTEMIX !!!!!
Cette semaine, notre bien-aimé Quentin Le Dé est parti chercher un collier d’immunité dans la forêt de Fontainebleau, donc c’est moi qui reprends le flambeau du récap. Et j’espère que vous vous êtes bien remis de l’épisode de la semaine dernière parce qu’entre le départ de Crazy Élodie sur une épreuve de confort, le remaniement pas ouf des équipes par Rudy et le départ inespéré de Tania, on avait gros à digérer.
Mais que nous réserve donc ce nouvel épisode ? Une maxi retournement de situation, d’excellentes stratégies et un Rudy toujours aussi sûr de lui. Ça promet beaucoup de plaisir.
On n'a pas le temps, c'est l'usine
Attendez, on a manqué un truc ou quoi ? Donc maintenant on ne fait même plus de retour de conseil, on attend une minute que l’émission démarre et BOUM, on envoie la première bouteille pour l’épreuve de confort ? Mais on est où là ??? QU’EST-CE QUI T’ARRIVE DENIS ??????
Rudy a un melon gros comme le radeau des rouges
Chez les jaunes, la préparation des radeaux en bambous marche comme sur des roulettes et, on se dit tous qu’encore une fois, ils vont tout rafler avec leurs super embarcations (lol, si on savait).
Chez les rouges par contre, c’est pas trop ça : personne ne sait faire des nœuds, à part Fred qui doit se taper tout le sale boulot sous l’œil véner de ses collègues frustrés, et Rudy ramène sa science toutes les trois minutes pour dire qu’il ne croit pas au « radeau Titanic » d’Helena. On avait clairement envie de lui foutre la tête dans le sable quand il a fait sa « petite parenthèse » pour préciser que maintenant qu’il a fait le radeau, « ça marche un petit peu mieux ». Mais t’es qui en fait ??
Heureusement pour les Tinago, tout est bien qui finit bien car comme l’a dit Denis et sa balle perdue pour les rouges « au moins, ça flotte ».
Une bromance s'installe sur le camp jaune
Non mais regardez-les, ces petits cœurs de Gillou et Nico, installer des pièges à crabes mains dans la main pour subvenir aux besoins de leur tribu. On les veut ensemble en finale ou rien.
Denis n'est clairement pas un as de la cuisine
Alors que les deux équipes sont réunies pour disputer l’épreuve de confort sous un déluge jamais égalé dans l’histoire de Koh-Lanta, Denis leur dévoile leur récompense : quatre gros poulets rôtis à la broche qui ont l’air très appétissants… ET QUI PRENNENT LA FLOTTE À CAUSE DE LUI. Et il ajoute la sauce par-dessus en plus, mais qui lui a appris à cuisiner sérieux.
ÉNORME COUP DE TONNERRE DANS L'ARCHIPEL
Alors que les jaunes, déjà grands vainqueurs de la première manche de l’épreuve des radeaux, sont sur le point de remporter ce confort (et les quatre poulets qui ont bien eu le temps de prendre la flotte pendant ce temps), l’impensable se produit ! Ils niquent leur pirogue en se cognant contre un ponton parce qu’ils ont oublié de manœuvrer en voulant attraper le drapeau rouge. Tout le monde est sous le choc, même Denis, qui n’a jamais vu ça en 31 émissions.
Résultat, les rouges remportent le confort après l’abandon forcé des jaunes et se mettent à hurler de joie comme si c’était un succès mérité alors qu’ils étaient nazes, comme toujours. Gillou doit donc transmettre le feu sacré et il choisit, de façon très étonnante (non), Fred qui lui avait promis une ristourne sur sa terrasse en rentrant de Koh-Lanta.
Benjamin est vraiment au bout du rolls
Pauvre Benjamin le benjamin qui ne peut plus faire « le seul truc qu’il aime » (aka pécher du poisson et pas pécho Tania), se tape une défaite pas cool et doit en plus gérer de gros problèmes capillaires. Non, vraiment, c’est trop pour lui, on sent qu’il arrive au bout du bout du bout.
Les rouges ont un sens de l'humilité aussi solide que la pirogue des jaunes
Non mais écoutez-les parler comme s’ils avaient mérité leurs quatre poulets là. Pendant que Quentin parle d’une « victoire modeste », Esteban se vante d’avoir « fait couler les Jaunes » et Helena promet déjà de leur montrer que « ce n’était pas de la chance ». Mollo mollo les Tinago, on sait de quoi vous êtes capables (c’est-à-dire, de pas grand-chose) et dans Koh-Lanta, ce n’est jamais bon d’avoir aussi confiance quand on a salement gagné après un abandon.
Benjamin prend ses clics et ses clacs (et pour longtemps)
Deuxième gros rebondissement de cet épisode haletant : Benjamin abandonne, épuisé d’avoir utilisé au moins la moitié de ses capacités physiques et mentales (mais surtout dégoûté de ne plus pouvoir dormir collé-serré avec Tania sous la cabane). Même les mots d’encouragement de Martin le startupeur ne changeront rien à sa décision. On dit donc au-revoir à notre enfant sauvage préféré pour retrouver Tania qui ne nous avait pas du tout manqué. Tous les jaunes ont bien le seum et nous avec.
Ne jamais confier ses pompes à Martin
On peut désormais dire que Martin est le fromager le moins bien chaussé de l’île.
Denis a clairement ses petits chouchous
Alors que les rouges viennent encore une fois de se rétamer en épreuve d’immunité, Denis en rajoute une couche en lançant aux jaunes un bon « Un totem vaut mieux que quatre poulets rôtis ». Et toc, en pleine face des Tinago. En même temps, il a bien raison Denis, les rouges ont trop crié que ce n’était pas de la chance s’ils avaient gagné l’épreuve de confort. Alors que si, c’était clairement de la grosse chance. C’est Tania qui doit être contente de ne pas pouvoir se faire jarter au prochain conseil.
Rudy est enfin l'arroseur arrosé
Alors qu’il pense être le meilleur stratège de l’île depuis le début de l’aventure, Ruby se fait mener en bateau par les ex-jaunes et par Helena qui manigance avec Clémence pour le faire sauter, et franchement, ça fait trop plaiiiiiisir. C’est d’autant plus savoureux quand Rudy, qui commence à tiquer sur les stratégies autour de lui, se fait griller par Esteban qui, rien que par son regard, avoue à Helena que le collier d’immunité n’existe pas. Le pote maudit quoi.
Tout ce stratagème vaut une mention spéciale aux anciens-jaunes qui ont réfléchi à tout, même à la possibilité de virer Anne-Sophie en cas de collier, et trompent leurs adversaires dans le plus grand des calmes sans se mettre personne à dos. Qu’on leur file des oscars SVP (pas à toi Rudy, toi t’es éclaté en comédie).
Tania n'a pas changé du tout
Celle qui avait plié bagages après la stratégie manquée de Rudy a fait son grand retour sur l’île des Jaunes, pour le plus grand plaisir de tous (toujours pas). À peine elle a défait ses valises que déjà, Grace la menace pour qu’elle arrête de collaborer avec tout le monde sauf les jaunes. On n’a même pas le temps de croire à son discours de repentie que déjà, elle se laisse séduire par la proposition alléchante de Martin qui veut sauver son cul d’ancien rouge. Chassez le naturel, il revient avec Tania.
45 % !
Ce n’est pas le pourcentage de « Hey les gars » dans les phrases de Martin, mais bien le pourcentage d’investissement d’Esteban dans l’aventure. Un jour, il faudra que quelqu’un lui explique qu’on ne peut pas dire ça au conseil devant toute son équipe à Koh-Lanta si on veut rester un peu dans l’aventure. Heureusement, Anne-Sophie, beaucoup trop mims, a pris ça pour un manque de confiance en lui et l’a tout excusé. Ça ira pour cette fois, mais va falloir te sortir les doigts du fion vite fait Esteban, laisse-nous te dire.
Ciao l'artiste (et bon vent)
La stratégie des anciens jaunes a fini par payer : Esteban, qui est toujours à 45 %, a voté pour Fred, le plus fort de l’équipe ; Rudy a voté pour Anne-Sophie, espérant ne pas s’être fait eu ; et les anciens jaunes l’ont dégagé en la lui mettant bien à l’envers. Lui qui se disait « Assez serein » face au conseil, eh bien on ne peut que lui répondre que c’est bien fait. On retiendra cette explication de Clémence : « Tu es l’élément qui perturbe le groupe. Tu prends trop de place, tu parles trop fort… Souvent pour ne rien apporter ». On dit bye au candidat de Koh-Lanta avec les plus grosses chevilles de l’histoire.
Une petite dernière pour la route
Évidemment, Rudy n’allait pas partir sans nous lâcher une de ses punchlines dont lui seul à le secret. Hasta lluego dans le métro.
À la semaine prochaine pour un conseil surprise très prometteur, mais surtout pour le retour de Martin ouin-ouin et son « Heyyyy les gars, AÏÏÏÏE » cultissime.