POPOPO la série Big Little Lies débarque sur TF1 ce soir les gars, c’est pure folie ! Bon, nous évidemment on l’a déjà maté en long en large et en travers et surtout sur OCS (elle est même rentrée au panthéon des meilleures séries à voir sur OCS) il y a de cela quelques temps et on peut vous dire que c’est pas de la daube. Le genre de série qui va sans aucun doute rehausser le niveau de TF1 et nous allons vous démontrer pourquoi ic et nunc. Ouais je dis ic et nunc, y’a koua en fait ?

Elle a eu un tout petit peu pas mal beaucoup de récompenses

4 Golden Globes en 2018, 7 Primetime Emmy Awards en 2017 et bien sûr le prestigieux saucisson d’or du festival de Brissac-Quincé (un festival qui n’existe peut-être pas dans la réalité mais qui existe dans mon cœur). Bref, il semblerait que pas mal de gens soient d’accord pour dire que c’est plutôt pas dégueu.

C'est une série avec plein de meufs

OK, il y a pas si longtemps je pensais pas que ce serait un argument pour justifier la qualité d’une série mais en fait si. Les personnages principaux sont féminins. Les hommes sont au second plan et sont souvent des nazes (voire de gros bâtards en puissance), bref le male gaze en prend un coup (on le rappelle ici : le male gaze c’est la vision masculine hétéro portée sur les femmes dans la majorité des fictions, c’est donc une vision dominante qui pète un peu les noix à la longue). Comme quoi c’est possible de réaliser des séries féministes en étant un keum. Oui parce que la série est réalisée par…

Jean-Marc Vallée

Si ce type était un appareil de petit électroménager chez moi, ce serait mon grille-pain. Rapport à l’utilité maximale qu’il a dans ma vie et dans mon bien-être (si vous n’êtes pas satisfait par ma métaphore, envoyez un courrier de réclamation au SAV de Topito 1, rue de Monku s/ la Come Aude).

Jean-Marc Vallée a aussi signé par la suite la série Sharp Objects dont on vous avait déjà chanté les louanges. Eh bien Jean-Marc Vallée on peut dire que c’est un sans faute, avec des films comme Dallas Buyers Club, C.R.A.Z.Y. ou encore Wild, on est sur du lourd.

Je vous mets au défi de griller la fin de la série avant la fin de la série

Eh oui, Big Little Lies fait partie de ces séries qui reposent sur un dénouement final tellement dingue qu’on aurait du mal à l’appréhender. Et pourtant on nous envoie des signaux mais nous on se laisse bercer par l’apparente superficialité de la série, alors qu’elle est tout le contraire.

Parce que c'était une série d'une seule saison... jusqu'à ce qu'il y en ait eu une deuxième

Oui c’est vrai qu’on a d’abord cru qu’elle ferait partie des meilleures séries à une seule saison et puis en fait ils en ont fait une deuxième. Bon. On s’est un tout petit peu sentis trahis mais en fait la deuxième saison avec Meryl Streep était absolument géniale aussi donc on se tait. Et si ça se trouve, ils seraient bien capables de nous en faire une troisième, et même qu’on serait pas mécontents.

On est un peu in love de Alexander Skarsgård

Déjà parce qu’il y a un rond sur le deuxième « a » de son nom de famille ce qui le rend vachement marrant à écrire. Par ailleurs il est Suédois et on adore les acteurs suédois (peut-être pas autant que les acteurs danois mais quand même). Alors certes il a le rôle du plus gros enfoiré de la série mais on y va quand même.

Globalement, on retrouve tout plein d'acteurs et d'actrices qu'on aime de l'amour

Zoé Kravitz (que cé la fille à Lenny, plus cool tu meurs), Adam Scott (pour les fans addicts de Parks and recreation),
Reese Witherspoon (qui nous a trop fait golri avec son #2020challenge), Laura Dern (passion Jurassic Park), Shailene Woodley (avec un blase pareil moi aussi je veux bien être une star d’Hollywood) et évidemment le susnommé Alexander Skarsgård.

C'est une série qui célèbre la solidarité féminine, les mythos et les grandes maisons très cher sur la côte californienne

Un combo d’une rare qualité.

Voilà enfin une bonne raison de mater TF1.