Le Japon compte de très nombreux temples. Quand on y va en voyage et qu’on y reste que 15 jours ou 3 semaines, forcément, il faut faire un choix. Même si on décide d’en visiter le maximum. Alors voici une liste non exhaustive des plus beaux. Les immanquables. Ceux qui ne déçoivent jamais ! Le best of the best !

Le Kinkaku-ji (Kyoto)

Le Temple du Pavillon d’Or est situé dans la préfecture de Kyoto. Le phœnix des temples japonais puisqu’il fut entièrement incendié par un moine en 1950, avant de renaître littéralement de ses cendres en 1955. Et si ce nouveau bâtiment, en tous points conforme à l’ancien, a dû être retiré de la liste des trésors nationaux, le parc dans lequel on peut le trouver, sublime, y est toujours.

Le Ginkaku-ji (Kyoto)

Voici le Temple du Pavillon d’Argent. Datant de 1492, il est l’œuvre du shogun Ashikaga Yoshimasa, qui voulait concurrencer le Kinkaku-ji de son grand-père. Malgré son nom, le temple n’est pas recouvert d’argent, bien que les plans initiaux prévoyaient qu’il le soit. Là aussi, le temple repose dans un environnement paradisiaque.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Le Daigo-ji (Kyoto)

On reste à Kyoto avec ce superbe temple bouddhiste fondé en 874. Classé à l’UNESCO, il est populaire pour sa beauté mais aussi pour les érables dont les feuilles, en automne, participent activement à la magie du lieu.

Le Todai-ji (Nara)

C’est dans l’enceinte de ce temple bouddhique que l’on trouve la plus grande construction en bois du monde. Un temple non seulement magnifique mais aussi important car il demeure le centre des écoles Kegin et Ritsu. On y enseigne le bouddhisme japonais et bien sûr, le temple est classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO.

Le Meiji-jingu (Tokyo)

Un lieu emblématique de la capitale japonaise. Un sanctuaire qui s’impose comme le centre névralgique du shintoïsme. Constitué de deux complexes, il est situé à Shibuya et fait office d’incontournable.

Le Kiyomizu-dera (Kyoto)

Petit retour à Kyoto pour visiter le Kiyomizu-dera. Lui aussi classé à l’UNESCO, ce complexe de temples bouddhiques date de 778. Sa particularité : le bâtiment principal, qui remonte à la période Edo, est construit en bois, sans aucun clou.

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Le Nikko Tosho-gu (Kanto)

Particulièrement spectaculaire, ce sanctuaire shinto est notamment connu pour abriter les fameux singes de la sagesse. Inscrit au Patrimoine Mondial de l’humanité, il offre la possibilité de totalement s’immerger dans la culture locale et renferme de nombreux trésors. Il reçoit aussi plusieurs festivals tout au long de l’année.

Le Ninna-ji (Kyoto)

Il est recommandé de visiter ce temple au moment de la floraison des cerisiers. Un spectacle ahurissant de beauté (oui au moins), qui ne doit néanmoins pas faire de l’ombre aux autres merveilles que ce temple offre. Comme les œuvres d’art qui s’y cachent…

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Il n'a pas souffert, promis

Le Itsukushima-jinja (Hiroshima)

Petite exception pour ce sanctuaire. Il s’agit donc d’une structure sacrée située sur l’île d’Itsuku, dans la préfecture d’Hiroshima. Connu pour son grand torrii rouge accessible uniquement à marée basse, le Itsukushima-jinja a lui aussi intégré la liste de l’UNESCO et figure parmi les trésors du Japon.

Le Horyu-ji (Nara)

C’est ici que se trouvent les plus anciennes constructions en bois du monde. Construites en 710, elles participent à la grandeur du lieu. Un temple lui aussi riche de quelques objets prestigieux. Et bien sûr, tout ceci n’a pas échappé à l’UNESCO.

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Il n'a pas souffert, promis

On avait l’embarras du choix !