Comme tout le monde, vous avez appris il y a 5 ans que Robin Williams était mort. Vous avez un temps espéré avoir mal entendu et que ce soit Robbie Williams, avant de vous rendre à l’évidence : c’était bien Robin. Le temps a un peu cicatrisé la blessure, mais on ne peut s’empêcher d’avoir une petite boule au ventre quand on repense aux scènes cultes de ses films. Bravo Robin Williams, tu nous fais toujours autant rêver.

Le Cercle des poètes disparus (Peter Weir, 1989)

Le prof qu’on a tous rêvé d’avoir, et que personne n’aura jamais eu. Et beaucoup beaucoup de litres de morve.

Will Hunting (Gus Van Sant, 1997)

Un rôle un peu dans la même veine que le précédent qui lui aura valu l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle. Et encore une fois, sortez les mouchoirs.

Aladdin (Studios Disney, 1992)

Le Génie, tout simplement.

Hook (Steven Spielberg, 1991)

Le premier coup de cœur cinématographique de tous les enfants nés dans les années 80. Et sans doute la cassette la plus usée de votre magnifique collection de VHS.

Madame Doubtfire (Chris Columbus, 1993)

Oui, ça ne volait pas haut. Oui, c’était du déjà vu. Et oui, déguiser un gros mec en meuf on a connu mieux comme ressort comique. Mais n’empêche qu’à chaque fois que ça passe à la télé, on réserve notre soirée.

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Il n'a pas souffert, promis

Jumanji (Joe Johnston, 1995)

Franchement y’a pas à dire, cette scène était absolument flippante.

Jack (Francis Ford Coppola, 1996)

Il était quand même fort pour les discours le con.

Le Roi Pêcheur (Terry Gilliam, 1991)

Mesdames et messieurs les snobinards qui pensez que Robin n’a fait que des films grand public nazes, sachez qu’il a tourné avec Terry Gilliam (plusieurs fois). Et toc.

Good Morning, Vietnam (Barry Levinson, 1987)

Je crois que l’on peut convenir d’un débit de parole assez impressionnant. Le film est par ailleurs dans le top 500 des meilleurs films de tous les temps réalisé par Empire.

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Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

Photo obsession (Mark Romanek, 2002)

Ou quand Robin joue un développeur de photos monomaniaque et arrive à être presque aussi flippant que Francis Heaulme.

Si vous aussi vous avez l’impression qu’il nous a quittés hier et qu’il vous manque beaucoup, rassurez-vous c’est normal. Enfin, je crois.