Du mélange entre bières fortes, murs et bombes de peinture devait naître le graffitivre, à la fois dissidence de l’art urbain et sécession du tag. Ésotérisme dans les toilettes publiques, échec grammatical ou humour de façade, les graffitivres représentent l’expression de rue spontanée, un lien entre une personne avinée et un passant avisé. Du street-art ? Pas vraiment. Du vandalisme ? Ça se discute. Mais en tout cas on aime.
Top 15 des graffitis les plus drôles et improbables de nos rues, l’art du Graffitivre #2
Un top signé Emma
(Rédac' chef de Topito) Une fois j'ai mangé MacDo pendant 32 jours de suite. J'ai survécu et me sens ... [suite]
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