Du mélange entre bières fortes, murs et bombes de peinture devait naître le graffitivre, à la fois dissidence de l’art urbain et sécession du tag. Ésotérisme dans les toilettes publiques, échec grammatical ou humour de façade, les graffitivres représentent l’expression de rue spontanée, un lien entre une personne avinée et un passant avisé. Du street-art ? Pas vraiment. Du vandalisme ? Ça se discute. Mais en tout cas on aime.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"