Aller au musée, c’est sympa. Mais quand on a le QI d’une huître pas fraîche, ça peut devenir dangereux pour le portefeuille. Imaginez que votre sortie finisse par vous coûter 3 fois l’hypothèque de votre maison. Ça serait relou, hein ? Vraiment relou…

Le petit creux à 120 000 balles

En même temps, quand on expose une banane, il faut s’attendre à ce qu’un teubé passe par là et la dégomme. Vous savez ce que c’est le comble pour un amateur de fruit ? C’est de se prendre une prune dans la poire pour avoir mangé une banane, mdr.

Les teubés qui prennent Auschwitz pour Ibiza

Bah non, c’est pas vraiment l’endroit pour taper un selfie et faire des photos sur des rails, bande de truffes. Un peu de respect et de recueillement, svp.

Idem pour ceux qui font du Parkour sur les blocs de l'Holocauste

Je préfère pas trop m’étaler sur le sujet où je pourrais dire des mots qui ne dépassent pas ma pensée, mais qui seraient un poil trop vulgaires pour un article en ligne.

Le vigile qui a dessiné sur une oeuvre

Sa justification ? Il s’ennuyait. Voilà. Logique, donc, d’aller ajouter au stylo des yeux aux visages du tableau « Three Figures » d’Anna Leporskaya. Oui, une œuvre estimée à 879 000 euros. On fait difficilement pire premier jour de taff, monsieur.

Ceux qui balancent de la soupe sur les tableaux

Faudra vraiment m’expliquer comment gaspiller de la nourriture, et ne pas respecter les employés d’entretien du musée, c’est une manière intelligente de faire passer un message écolo. C’est quoi la prochaine étape ? Balancer des tableaux sur des soupes ?

Un couple qui tague une oeuvre par erreur

En 2021, à Séoul, un couple se retrouve face à une œuvre de street-art. Ne me demandez pas pourquoi, ils pensent que c’est une sorte d’expérience artistique collective, et ajoutent une petite note de peinture à l’œuvre. C’est con, parce que ce n’était pas du tout une expérience, et qu’ils ont ainsi vandalisé une fresque estimée à 440 000$. Il y a vraiment des jours où on ferait mieux de ne pas aller au musée, si vous voulez mon avis.

La crise de nerf à 15 000$

Aïe, la boulette qui coûte cher. 2016, Ningbo, en Chine. LEGO ouvre une grande exposition, et parmi les œuvres : une grande statue de Nick, le renard plutôt mims de Zootopie. Quelques heures après l’ouverture, un enfant décide d’aller mettre un bon coup dedans pour la démolir. Pour une construction estimée à 15 000$, ça fait mal. Encore plus mal que quand on marche sur une de ces briquettes, c’est dire.

La gamelle à plus d'un million de dollars

Alors oui, le traiter de teubé, c’est peut-être un peu too much. Disons simplement que cet enfant n’était pas habile de ses deux jambes… Alors qu’il visitait un musée de Taïwan, il trébuche, tente de se rattraper en s’agrippant à un tableau, et finit par perforer l’œuvre de Paolo Porpora estimée à 1,5 million de dollars.

Le mec qui piétine une oeuvre sans capter

En avril 2017, le musée d’art moderne et contemporain de Nice expose des œuvres de Yves Klein, connu pour le fameux bleu Klein. Alors que le musée organise une conférence de presse, un des invités a visiblement reculé sans regarder ses rétros, puisqu’il a fini les deux pieds sur une œuvre. Je vous laisse identifier l’auteur de la boulette sur la photo juste en dessous.

La mairie de Toulouse qui a la mémoire courte

Imaginez, vous êtes une mairie. Vous avez envie de faire plaiz à nos concitoyens, donc vous commandez une dizaine de portraits que vous disséminez partout dans la ville, initialement pour 5 mois. Puis hop, quelques jours plus tard, les services de la ville en efface presque la moitié. Mdr. Ce serait con, non ?

Et je ne vous parle même pas des œuvres d’art détruites par des cons ! Les boules.