Les frères et sœurs, ça peut être bien chiant, au point qu’on aimerait parfois ne plus les avoir. Sauf qu’en vrai, grandir au sein d’une fratrie nous apprend plein de choses hyper utiles pour le reste de notre vie. Alors au lieu de dire du mal de vos frères et sœurs, remerciez-les plutôt pour ce qu’ils vous ont appris.

La délation

« M’MAAAAN, « prénom » VIENT DE FAIRE TOMBER TON VAAAASE ! EN PLUS, IL DIT DES GROS MOTS !!! » (Non je ne suis pas un rapporteur, je suis une équerre, mouahahaa !)

Le sadisme

Rien n’est plus divertissant que de regarder son frère ou sa sœur se faire pourrir pour une bêtise qu’il n’a pas faite (parce que c’est toi qui l’a faite, mais que t’as été suffisamment malin pour le faire accuser à tort).

L'amitié intéressée

Notamment quand on va dîner chez tatie Michelle, et qu’on décide soudainement d’être sympa avec le frérot parce qu’on ne connait personne et que c’est ça ou parler avec des adultes chiants.

Le chantage

« Arrête, ou je dis à tout le monde que tu suces encore ton pouce pour t’endormir. Ouais ouais, j’ai la preuve en photo ! ». C’est pas jojo nous sommes d’accord, mais c’est comme ça que vous avez obtenu le dernier BN ce 25 juillet 1998 et ça vous ne l’oublierez jamais.

La solidarité

On peut confier à sa fratrie plein de trucs que les parents ne doivent ABSOLUMENT pas savoir et ça fait du bien de vider son sac. Évidemment ça reste toujours un peu teinté de chantage, sinon c’est pas une fratrie. « J’ai perdu la bague préférée de maman au Poker, mais ne le dis pas, sinon je dis ce qu’il s’est vraiment passé quand tu as pris la voiture. »

Pleiiiin de jolis mots

Tel que « crevard », « enflure » ou encore « biatche ». On ne dirait pas comme ça, mais dans la bouche d’un frère ou d’une sœur c’est toujours affectueux.

La négociation

« Si je te donne 10, tu dis pas aux parents que je suis sortie ? 30 ?? t’es malade ou quoi ! Allez, 20? ! » « Hey, tu veux te mettre avec moi pour acheter la PS4 ? on met 50/50. Elle sera à nous deux. Je la mettrais dans ma chambre mais tu viendras jouer quand tu veux… » (Sauf quand je ne serai pas d’accord évidemment.)

Le partage

Pour faire des cadeaux aux parents, les placer en maison de retraite ou payer les funérailles.

Mais évidemment ce qu’il faut retenir c’est qu’on les aime et qu’on est bien contents de pas être enfant unique