S’il y a des moments où on aime beaucoup la pub (comme avec ces pubs qui font pleurer qu’on pourrait visionner 1000 fois), il y a des moments où on aimerait lui faire sa fête, la brûler, l’enterrer, la déterrer, lui cracher dessus et l’enterrer à nouveau. C’est le cas quand certaines pubs traumatisantes de notre enfance nous reviennent à l’esprit des années plus tard. Pourquoi nous avoir fait ça ?

La pub Novartis avec la mycose de pied horrible

Bien sûr elle passait à chaque fois quand on était en train de bouffer. Cet ongle qui se lève comme un capot de voiture, ça aurait dû être interdit par le CSA. Si un jour on retrouve les publicitaires responsables de cette vidéo, ils le regretteront très fort.

La pub Evian avec des bébés qui font du roller

C’est simple, voir des bébés faire des trucs d’adultes c’est hyper angoissant, c’est gênant et c’est bizarre. Pas de ça à la TV svp. Les bébés c’est juste fait pour dormir, manger, rire, pleurer et faire caca. C’est tout.

La pub Whaou! avec le mec qui se mange les doigts

On l’a compris le message : « les Whaou! c’est tellement bon qu’on s’en mange les doigts ». Super. Maintenant, est-ce qu’il fallait vraiment nous l’illustrer avec une vieille image d’os qui dépasse du doigt ? La réponse est évidemment non.

La pub Playstation 2 complètement tordue

Le truc est censé être une pub pour donner envie aux jeunes de jouer et on se retrouve avec une sorte de film d’auteur lynchéen hyper anxiogène qui se clôt sur un canard qui parle. Si c’est ça la PS2, alors on va plutôt lire un bouquin.

La pub Xbox avec un accouchement extrême

Allez, après Sony, c’est au tour de Microsoft d’avoir sa pub perturbante. Ici, une femme éjecte un bébé dans les airs qui se transforme rapidement en personne âgée et finit dans la tombe. En fait ils voulaient vraiment qu’on arrête de jouer, on ne voit pas d’autre explication.

La pub Orangina et ses animaux hyper-sexualisés

Qui s’est dit que ce serait une bonne idée de nous montrer des antilopes et des pieuvres avec des boobs et des hanches bien sculptées ? Quel esprit malade a pensé qu’on voudrait voir ça à la télé ? Qu’il se dénonce et en paie les conséquences svp.

La pub pour Crash Bandicoot 3 façon film d'horreur

Y’a deux trucs qui ne vont pas dans cette pub : le fait que le scénario n’ait aucun sens et le fait qu’on ait créé une ambiance ultra-inquiétante pour un jeu qui n’a absolument rien d’horrifique. Ça nous dépasse.

La pub Prince avec le prince qui pète un câble

Les biscuits Prince c’est censé être bon esprit, mais là on nous avait foutu un Prince surexcité à deux doigts de buter la princesse qu’il devait sauver. Bon, c’était de l’humour, mais ils étaient à deux doigts de tuer l’image de héros du perso. Des oufs les gars.

La pub Orangina rouge et son massacre à la tronçonneuse

Bon perso moi ça va, mais certains de mes collègues – que je respecte bien évidemment – ont mal vécu cette pub pendant leur enfance. Comme quoi elle ferait flipper sa mère. Je ne suis pas d’accord avec eux mais je me battrai pour qu’ils aient le droit de le dire. Enfin je me battrai… mais si ça devient dangereux j’abandonne.

La pub Mercurochrome ultra-répétitive

Le principe : nous répéter le plus de fois possible la même phrase en 20 secondes de spot publicitaire. Là ça passe parce que vous ne matez la vidéo qu’une fois, mais rappelez-vous quand elle passait environ 100 fois par jour à la télé. Y’avait de quoi devenir fou.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

La pub Juvamine, elle aussi trop répétitive

Même principe ici. Et ce qui est encore plus angoissant dans cette pub, c’est que le mec a une tête à avoir voté Macron au premier tour et qu’il est entouré d’humains-robots accomplissant tous les mêmes tâches comme dans une dystopie à bas budget. Ça fait peur.

La pub Kisscool avec le gros lapin qui tape un bad

On aura rarement vu une pub qui donnait aussi peu envie de consommer un produit. La fin du spot était tout simplement terrifiante avec ses scientifiques chelous prêts à disséquer le gros monsieur lapin. Dans nos cauchemars, aujourd’hui, on entend encore des « laaaaapiiin »

Dites-vous qu’il y a toujours pire. Y’a qu’à voir les pubs scandaleuses des années 90