Salut mes petits verres de grenadine, ça biche ? Nous ça va pas trop mal, du coup pour rester sur une bonne lancée d’un dimanche agréable placé sous le signe de la bonne humeur et de la franche rigolade on vous propose de voir une fois de plus les quelques champions qui ont rythmé la semaine. Vous savez, ces personnes qui ont fait vibrer les rubriques « faits divers » ces sept derniers jours et qu’on retrouve partiellement grâce à l’aide de @ajustetitre qu’on vous conseille une fois de plus de suivre. Allez, on y va.

Un détenu évadé se fait rattraper en courant le marathon de Lucerne

L’analyse de Topito : Bon dans les faits l’évadé ne participait pas au marathon il était dans le public, mais ça reste une belle performance. On dit souvent que dans ces cas là faut se faire plutôt discret, faire profil bas, mais lui c’était un fan de sport vous comprenez.

Haute-Savoie : Il passe en voiture devant une école primaire avec deux poupées gonflables à bord

L’analyse de Topito : Cela faisait une semaine qu’il roulait avec les deux « passagers » pour faire « une blague ». On rigole bien avec lui je peux vous le dire, vous l’avez pas vu faire la pression des pneus, c’est à tomber.

Etats-Unis : des gardiens de prison passent en boucle la chanson "Baby Shark" pour torturer des détenus

L’analyse de Topito : Aux États-Unis on peut définitivement se dire qu’ils vont trop loin avec le principe de torture, et là c’est la loi qui le dit puisque les gardiens ont été inculpés pour « actes cruels et inhumains ». De toute façon quelle que soit la chanson, l’écouter en boucle tous les jours ça doit rendre fou, mais faut avouer que celle là est violente.

Elle se fait tatouer le prénom de son copain sur tout le dos… 7 jours avant la rupture

L’analyse de Topito : C’est pas faute d’avoir prévenu un nombre incalculable de fois, les tatouages faut vraiment bien les réfléchir. Là pour le coup il ne reste que deux solutions : le faire recouvrir ou trouver un nouveau copain qui a le même prénom, ce qui est probablement moins compliqué.

Lyon : Les Daltons prêts à se calmer en échange de la libération de leur leader et d’un feat avec Angèle

L’analyse de Topito : Y’a des collectifs qui ont de vraies revendications, celui des Daltons de Lyon pousse le truc encore plus loin parce que si la libération d’un membre c’est un classique dans les exigences, demander un featuring avec un artiste c’est encore du jamais vu et il fallait le tenter.

En Creuse, un maire vit barricadé dans sa mairie

L’analyse de Topito : Il a changé les serrures et empêche les élus de pénétrer dans le bâtiment, du coup tout le village est à l’arrêt à cause de lui et faut bien l’avouer ça fait chier tout le monde. Pas certain qu’il soit réélu et que ce soit la meilleure technique de campagne.

De retour sur Terre, Thomas Pesquet livre ses premières impressions : "Les gars venus nous récupérer sentaient super bon la lessive et le savon"

L’analyse de Topito : Alors on parle d’un voyage de plusieurs mois sur une station spatiale, de millions d’euros dépensés, d’une couverture médiatique importante d’un peu moins d’un an. Le monsieur est allé dans l’espace et la phrase qu’on retient de son retour c’est que les gens sentaient bons ? C’est comme revenir d’un tour du monde d’un an et dire « il faisait super bon dans l’aéroport à l’arrivée ».

Castres : sa mère lui apporte un sandwich au parloir, le mineur finit condamné pour "recel de kébab"

L’analyse de Topito : La loi française possède des fantaisies assez étonnantes, certains noms de chefs d’accusations peuvent faire tiquer, mais jamais, jamais dans nos vies on ne pouvait imaginer qu’un jour quelqu’un serait inculpé pour « recel de kebab » et c’est peut être ça la « french touch ».

40% des jeunes Américains pensent que les hot-dogs sont des légumes

L’analyse de Topito : C’est une information en deux étapes, d’abord on rigole en se disant que c’est très con, ensuite on a peur en se disant que c’est très grave. 40% sans déconner, c’est énorme. Trop envie de voir les dessins d’arbres dont ils pensent que les hot-dogs proviennent.

On ne lui dit pas bonjour : la mamie incendie le hall d'immeuble

L’analyse de Topito : Là on est sur quelqu’un qu’on peut qualifier de « soupe-au-lait » parce que si ne pas dire bonjour est effectivement quelque chose d’impoli, foutre le feu à un hall d’immeuble c’est un vengeance un poil excessive. Et si elle est capable de faire ça pour ça on imagine qu’il ne faut pas l’emmerder la mamie.

Et en attendant dimanche prochain ne manquez pas les derniers teubés de la semaine, y’avait une belle fournée.