New York, la Grosse Pomme, le melting pot, le salad bowl, bref, une ville qui donne la (french) patate ; pas vrai ? Mais attention à ne pas se brûler les ailes à la torche de la statue de la liberté : comme toutes les grandes villes, New York réserve son lot de mauvaises surprises. Touristes, vous voilà prévenus !

Les contrefaçons de Chinatown

Sur Canal Street, à Chinatown, des vendeurs à la sauvette vendent des contrefaçons. Déjà, bon, ce sont des contrefaçons. Ensuite, ils peuvent être assez collants et dire Gucci ou Dolce et Gabbana super vite et c’est hyper embarrassant.

Les cartes téléphoniques hors de prix

Certaines boutiques des quartiers touristiques, notamment vers Broadway, refourguent des cartes d’appels nationaux au prix de cartes internationales. Déjà on s’en sort pour 100 dollars, ce qui est beaucoup beaucoup, en plus on peut pas appeler, alors c’est relou.

L'Empire State Building

C’est nul, l’Empire State Building. C’est cher en plus. Et y’a la queue. N’y allez pas.

Les musiciens qui vendent leurs CD

Sur Time Square, on trouve toujours plein de musiciens qui ne jouent rien du tout mais qui essaient de te refourguer leurs CD. Ils te le foutent dans les mains comme un copain qui essaierait de te prêter un truc de force et, ensuite, ils te demandent un peu de thune et toi tu la donnes parce que tu es bien élevé.

Les magasins d'informatique

Vu que le dollar est inférieur à l’Euro et les Etats-Unis réputés supérieurs technologiquement que la France, on se retrouve toujours avec des touristes dans les magasins d’informatique. Sauf que la plupart des magasins de ce genre ont compris le trucs et vendent des produits faux aux touristes au prix de machines Apple. Donc mieux vaut faire gaffe.

La MetroCard

Dans le métro, des revendeurs essaient de refourguer des MetroCard (le navigo local) chargées soi-disant avec 10 dollars pour 5 dollars. Bon. Il est évident que c’est à peu près aussi malin que d’acheter des tickets demi-tarif à des mecs dans Paris.

Les faux moines bouddhistes

Dans toutes les zones touristiques, on trouve de faux moines bouddhistes qui offrent des bouts de papier plein de sagesse orientale à la con. Ils sourient et ont l’air inoffensifs, mais ils veulent de la thunasse et si tu leur donnes pas, ils en perdent leur sanskrit.

Les vendeurs à la sauvette pour les matchs

C’est cool d’aller voir un match de base-ball. C’est cool. Sauf qu’on comprend rien à rien au base-ball et que des mecs refilent des billets pour des bouchées de pain de matchs qui, en réalité, n’existent pas. Ce qui créé une forme de déception en arrivant devant le stade.

Le ferry de Staten Island

Un truc à retenir : le ferry de Staten Island est gratuit. Si on te demande de payer, c’est que soit tu n’es pas à Staten Island, soit tu n’es pas sur un ferry, soit on essaie de t’avoir.

Les hot-dogs hors de prix

Un hot-dog coûte 2 ou 3 dollars. Dans les quartiers touristiques, on fait parfois croire aux touristes que certains hot-dogs sont suffisamment authentiques pour coûter 30 dollars. Il faut aimer l’authenticité, quoi.

(Bonus) La java de Broadway

Quand on fait la java le samedi à Broadway, ça swingue comme à Meudon. On s’défonce, on y va, pas besoin de beaujolais, quand on a du bourbon. Bah oui, c’est bien beau, tout ça, mais attention : c’est pas la vraie de vraie, la java de Broadway, hein.

J’ai envie de me réveiller dans une ville qui ne dort jamais. Genre Niort.

Source : Anuevayork