Les heures de « La Jungle » de Calais sont donc comptées. Le camp de réfugiés désireux de gagner la Grande Bretagne est en cours de démantèlement, les populations en sont évacuées, comme si quelqu’un s’était levé ce matin en réalisant que cette situation délétère était tout coup devenue intolérable. Dans quelques années, on expliquera à nos enfants que sur ces terres du nord de la France, on a laisser s’installer un bidonville gigantesque parce qu’on ne savait pas trop quoi faire de ces gens qui fuyaient la guerre ou la misère et dont les Anglais ne voulaient pas entendre parler. Et ils ne comprendront sûrement pas.
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