Truffée d’alvéoles (432 en moyenne), toute dure mais rebondissante, la balle de golf est complexe. C’est parce que ces messieurs les golfeurs ne se contentent pas d’une boule en plastique, le même pour tout le monde. Il leur faut un objet adapté à leur Swing, qui puisse voler dans les airs sans se désintégrer sur le Grind… Avant, on bourrait des plumes dans de la peau de vache cousue (pourquoi pas), mais on s’est vite rendu compte qu’avec un noyau en titane et plusieurs couches de matériaux composites, le résultat était encore plus incroyable. C’est pourquoi, quand James Friedman s’est amusé à les scier en deux pour les photographier, il n’a pas été déçu :

C’est beau, hein ?Source : L’article Ufunk ‘Disséquer les balles de golfs‘.