Parce que nos grands artistes ont parfois été des mecs un peu pourris question mœurs et ont pu faire l'apologie des amours avec des mineur(e)s. Parce qu'en plus cela a parfois donné de bonnes chansons, comme quoi un sentiment rance peut donner de l'inspiration. Le top 6 des artistes limite-limite question pédophilie (Jean-Luc Lahaye pouvait prétendre être dans le top mais vu qu'on parle d'artistes).

  1. The Rolling Stones : Pour Stray Cat Blues avec un Mick Jagger éructant sur une fille de quinze (treize sur certains albums en public) : « Bet your mama don't know you scream like that I bet your mother don't know you can spit like that » (sic).
  2. Leo Ferré : Dans sa chanson Petite. Le grand poète anar fait une magnifique déclaration d'amour à la femme rêvée avant de conclure que cette relation ne sera possible, que lorsque sous la robe de ladite fille « il n'y aura plus le Code pénal » (re-sic).
  3. Jerry Lee Lewis : Pour n'importe laquelle de ses chansons d'avant 1958 parlant de cul (c'est-à-dire n'importe laquelle de ses chansons d'avant 1958). 1958 ? C'est la date où le Killer, celui qui devait remplacer Elvis, voit sa carrière bêtement stoppée par une broutille : il reconnait le plus benoitement du monde lors de son arrivée sur le sol britannique, être marié avec sa petite cousine. La gamine a treize ans (re-re-sic). Dire qu'on trouve les américains puritains.
  4. Michael Jackson : Pour You are not alone. Bon ok, c'est bas. La chanson ne parle pas vraiment de cela. Le Roi de la Pop (R.I.P.) a payé assez cher (dans tous les sens du terme) le droit qu'on lui foute la paix sur ces prétendues allégations de relations avec des pré-pubères, mais enfin qu'est ce qu'il peut bien vouloir dire quand il chante : « Whisper three words and I'll come runnin' » ?
  5. Blind Faith : Pour la pochette de l'unique (et très bon album) du super groupe composé notamment d'Eric Clapton et de Steve Winwood (bientôt en concert en France pour un tarif plus que prohibitif). Le disque regroupe quatre titres magnifiques, un morceau final hyper long et hyper chiant et donc une des pochettes les plus malsaines de l'histoire du rock. Et pourtant y en a eu des pochettes malsaines dans l'histoire du rock.
  6. Yves Duteil : Pour prendre un enfant par la main. Ok, c'est encore bas. Désolé Yves (R.I.P. aussi. Comment cela, il n'est pas mort ?), mais quand même tu avoueras quand tu dis : « Prendre un enfant par l'amour »...

Et vous, vous en connaissez d'autres artistes limite-limite ?

Top écrit par EBR, topiteur limite-limite question bobdylan-addiction