Top 14 des trucs à retenir de Mariés au premier regard, saison 7 épisode 2

Fabrice a chaud

Le moment tant attendu est arrivé : on commence direct avec la première séance photo de couple de la saison. Toujours un grand moment de malaise (et c’est pour ça qu’on l’aime). Mais à notre plus grande déception, Anabel et Fabrice sont plutôt bien à l’aise. Un peu trop même, si on en croit le patin qu’ils se sont roulés et la petite précision de Fabrice sur son niveau de gaule : « Je sens une excitation intérieure monter ». OK Fabrice, mais calme-toi bien en fait, on n’avait pas besoin de savoir.

Gilbert sort le grand jeu

Littéralement. Il a à cœur de montrer à Léa qu’on peut aimer quelqu’un de moche, enfin quelqu’un qui n’est pas dans ses critères physiques (parce que Manu est loin d’être moche, faut le préciser). Ça a l’air de marcher, bien qu’on n’ait pas tout compris aux règles, même si on doute un peu que Léa décide si facilement de faire une croix sur le sosie rêvé de son daron.

On a eu une révélation

Antonia est beaucoup trop chou mais… On n’a rien pu écouter de ce qu’elle disait tant on était focus sur une ressemblance frappante. Comment on a fait pour ne pas la voir dès le départ ??

Léa veut faire bander son futur mari

Y a pas d’autres mots pour le dire puisqu’elle veut « montrer le maximum possible » et « créer le désir ». L’objectif est clair, net et précis. Notre passage préféré dans cet épisode ? Cet échange avec les vendeurs du magasin de robes de mariées :

– Vous n’avez pas de souci avec le sexy ?

– Oh non… Ça va…

Elle aurait dû se maquer avec Fabrice tiens.

Jessica est beaucoup trop choups

En voyant son portrait, on comprend que la bichette est en manque d’amour parce que les hommes flippent devant ce petit bout de femme hyper indépendante, carriériste et sportive. Alors qu’elle a pourtant l’air d’être une vraie petite crème. Une petite crème exigeante, certes, mais une petite crème quand même.

L’histoire de sa grave maladie nous a bien fait monter les larmes aux yeux. On était donc très content quand Estelle a annoncé à notre Miss Univers Fitness qu’ils lui avaient trouvé quelqu’un de compatible. Mais surtout, on a pu faire la connaissance de Kiki le chat-nain-pas-nain, et ça, ça n’a pas de prix.

Les larmes coulent

On veut tous un frère comme celui d’Anabel. Il a réussi à nous faire lâcher notre larmichette avec son discours beaucoup trop mims. Il n’y a que Céline qui n’a pas chialé. Elle était trop occupée à chercher des raisons pour lesquelles le mariage d’Anabel et Fabrice pourrait foirer. Le pire, c’est qu’elle essaye même plus d’être discrète tellement elle a la haine de ne pas être à la place d’Anabel.

Le père de Jessica assume pas trop de regarder MAPR

– Mais y a un truc comme ça à la télé.

– Ah, c’est les émissions que ton père regarde ?

– Mais nan, j’ai regardé qu’une fois !

Oui, oui Pascal, tout le monde y croit.

C'est très chelou ce qui se passe

On a enfin fait la rencontre de Pascal, le futur mari de Jessica, qui a aussi le même nom que le père de Jessica. Ça commence à faire beaucoup de liens intrafamiliaux dans les couples MAPR tout ça. Pascal qui nous explique d’ailleurs que ces périodes de célibat « deviennent de plus en plus longues entre ses relations » alors qu’il est célib depuis un an. Mais ce n’est pas ça le plus choquant, non. Le plus choquant, c’est sa capacité à dire exactment les mêmes choses que Jessica. C’est très flippant. Soit la science a très bien fait son travail, soit ils sont une seule et même personne.

Brouuuuusse n'a pas le temps pour les embrouilles

Estelle : « Bonjour Pascal, ça va ? »

Bruce : « Mais vous êtes qui en fait ??? »

On questionne beaucoup le choix de Nash le chien

On aimerait juste comprendre pourquoi notre grand gaillard de Pascal qui fait 100 kilos et participe à des concours de body-building a choisi un chien qui fait à peine la taille de son mollet. C’est… intéressant !

Céline est une énorme pick-me girl

Elle n’arrête pas. Jamais. Maintenant, on en est sûr et certain : c’est la nouvelle Carine. D’abord, il y a eu son discours extrêmement gênant à base de beaucoup trop de références à son amour pour Fabrice (« Ça matché », « On ne s’est jamais quittés », « Une belle histoire de cœur »), qui entre nous, était juste là parce qu’elle voulait la même attention que le frère d’Anabel.

Ensuite, il y a eu ses insinuations cheloues auprès d’Aurélie, la pote d’Anabel, sur les autres amies filles de Fabrice qui étaient des copines de son ancienne conjointe. Mais il y a surtout eu ce magnifique « Ça va mon loulou, tu regrettes pas ? » accompagné de caresses à Fabrice et de rire faux-cul à Anabel. Mais décernez-lui un Oscar pour sa prestation de meuf jalouse en fait, elle l’a trop bien.

La famille de Léa fait carrément flipper

En plus de leur physique imposant, bien loin de celui de Manu, le frère et le père de Léa jouent aussi la carte de la menace. Jean-Marc le padre nous lâche des « j’espère pour elle qu’il sera à la hauteur » et Enzo s’entraîne à faire son regard noir le plus longtemps possible en précisant qu’il « ne faut pas qu’il merde ». On dirait des mafieux qui assistent au mariage de leur fille avec le membre d’un autre gang. On comprend mieux pourquoi Manu était aussi stressé.

Pascal a des problèmes vestimentaires

Franchement, il nous fait un peu de peine ce brave Pascal parce que même sa fille a l’air de dire que c’est une tannée de lui trouver des fringues adaptées à sa morphologie. Et quand on voit la tête du vendeur de costume, on se doute que c’est effectivement vraiment le cas. Tinquiète pas Pascalou, de toute façon, tu seras quand même le plus beau pour faire des tractions avec Jessica.

Bon bah, Léa n'est pas convaincue

Avant d’arriver à l’autel, elle se demandait sur quel critère Manu pouvait ne pas correspondre à ses attentes. Eh bien, il semblerait que ça soit sur tous. Car comme le dit si bien Enzo « C’est loin de ce qu’elle nous ramène d’habitude », aka des bruns ténébreux gaulés comme des barriques. Ce qui devait arriver arriva donc : Manu est complètement sous le charme alors que Léa n’est pas plus à donf que ça, si je puis dire. « Physiquement, c’est pas mon style, je n’ai pas cette attirance. » Ouch. Ça fait pas plaisir.