C’est annoncé: le gin tonic sera le cocktail incontournable de cet été. Certes ce n’est pas nouveau, mais disons que la mode lui redore le blason depuis peu et ça fais plutôt plaisir parce qu’on en pouvait plus des déclaration d’amour perpétuelles au Spritz et au Mojito. Niquez-vous avec vos cocktails tout pourris, le gin to c’est pour les vrais (avec modération quand même, on le rappelle).

ATTENTION L’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ, À CONSOMMER AVEC MODÉRATION (OU AVEC QUI VOUS VOULEZ).

Le gin tonic a des vertus detoxifiantes

Et même que ça raffermit la peau, c’est pas beau ça ? Bon calme ta waj, engloutir plusieurs litres de gin to par jour n’est pas une cure de jouvence mais bien une preuve d’alcoolisme aigu. Toujours est-il que les ingrédients naturels que contiennent le gin sont pleins d’anti-oxydants. ET plus le gin est vieux, plus ça marche. Un peu. Bref allez donc vous préparer un gin To ou n’importe quel cocktail à base de gin je veux rien entendre.

Les baies de genièvre contenues dans ses aromates est un bon anti-inflammatoire

Oui OK bon c’est pas comme si on bouffait de la baie à pleines dents non plus mais disons que l’alcool obtenu par distillation de farines est ensuite aromatisé aux baies de genièvres (auxquelles ont pourra rajouter du coriandre, du fenouil, du cumin de la réglisse, de l’anis ou encore des écorces d’orange. Bref que des bonnes choses pour avoir le teint frais.

Ça réduit les éventuelles douleurs de tes articulations

L’astuce de grand mère étant surtout de faire macérer les raisins secs dans du gin puis, une fois le gin évaporé, consommer les raisins secs afin de réduire ses douleurs articulaires. Ouiiiiiiii boooooooooon d’accooooord c’est pas forcément approuvé par les médecins mais disons que ça peut être un bon remède psychosomatique.

Ça a été un bon moyen de lutte contre le paludisme

Alors que les soldats britanniques se la coulent douce en Inde, ces pauvres petits chérubins sont fortement atteints de paludisme. Un mal qu’ils tentent de guérir en consommant de la quinine dans de l’eau gazeuse sucrée à laquelle ils ajoutent un peu de gin. Et sans le savoir, non seulement les gars se protégeaient du paludisme mais en plus ils inventaient la meilleure boisson du siècle : le gin to.

ASKIP la reine d'Angleterre en boit un verre tous les soirs à 18h

On ne sait pas si c’est totalement vrai ou si c’est juste pour se la raconter mais il semblerait toutefois que la queen soit une adepte du cocktail qui signerait le secret de sa longévité.

C'est très bon pour la digestion

L’amertume du gin est le meilleur allié pour une digestion réussie, rien de tel pour donner une chance à ton transit de l’écouler en dans l’amour et la douceur.

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Il n'a pas souffert, promis

Ça réduit tes risques d'infection

Je m’explique. En fait, le gin ça fait pisser. Ce potentiel diurétique empêche la rétention d’eau. Or, quand tu pisses, tu élimines tes toxines. Et quand tu élimines des toxines bah tu as moins d’infections. C’est comme ça pose pas de questions.

C'est tellement moins chiant à préparer qu'un mojito que tu gagnes beaucoup en espérance de vie

Et aussi en respect du serveur qui se fera moins chier à préparer ton cocktail et donc t’accordera plus d’attention et d’amour.

Ça ressemble à de l'eau donc c'est plus facile à dissimuler au petit déjeuner

Et comme on le sait tous, il est indispensable de s’hydrater dès le début et tout au long de la journée. Bon ce point là ne marche qui si évidemment tu es allergique à l’eau.

Le gin tonic rendrait immortel (et de gauche)

C’est ce qui dit une légende que personne n’a jamais pu vérifier. En revanche il ne te permettra pas d’avoir ton permis de conduire, ni d’ailleurs de conduire mieux (et pourrait même te permettre de le perdre). A la rigueur, il peut t’aider à parler un peu mieux anglais, mais ça s’arrête là sur l’acquisition de compétences neurologiques.

Et tout de même, ça ne fait jamais de mal de le rappeler : l’alcool c’est avec MODÉRATION, parce que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Merci.

Sources: Comment économiser, Slate, Terra femina, Le Monde