On est tous pareil, on aime bien sortir, on aime bien picoler, mais quand vient l’heure de s’acquitter de la douloureuse, on est tous un petit peu moins chauds. Enfin pas tous. Y’a toujours quelques gonzes, à droite à gauche, qui rechignent un peu moins à mettre la main à la poche. 15 types de mecs qui paient des coups aux copains en soirée.

Celui qu'a passé une journée difficile

Si cette journée s’inscrit dans une semaine difficile, c’est JACKPOT : il a envie d’oublier, il va rincer jusqu’à ce qu’il oublie, soit pourquoi il rince, soit son code de carte bleue. Dans les 2 cas c’est BINGO.

Celui qui veut pas que ça s'arrête

Et qui paie sa tournée quand on approche du « verre-de-non-retour » : ce verre que tu crains de consommer le jeudi soir aux alentours de minuit, mais dont tu es si friand le samedi. Le gars venait pourtant de payer la tournée d’avant. Il s’en fout : il est content d’être avec les copains, il veut pas que ça s’arrête, il met les autres au pied du mur. Et il a raison.

Celui qu'a perdu les pédales (mais pas son portefeuille)

Qui comprendra l’étendu des dégâts le lendemain matin en trouvant les tickets de CB dans les poches arrières de son jean. Et en constatant les 11 appels en absence de son banquier.

Celui qui fait ses petits calculs

Qui se précipite pour rincer 5 minutes avant la fin de l’Happy Hour, ou 10 minutes avant l’arrivée de nouveaux copains, parce que la tournée d’après sera mathématiquement plus chère. #BalthazarPicsou

Celui qu'est craqué de tunes (et qui veut que ça se sache)

Alors que tous les copains paient tour à tour leur tournée de pintes d’urine à 5€, lui il envoie des Jäger Bomb pour tout le monde. Et un mètre de Teq’Paf ! T’es partagé entre la gêne de pas pouvoir lui rendre la pareille, et la volonté instinctive d’en profiter. Heureusement, c’est cette dernière qui prend rapidement le dessus.

Celui qui gratte l'amitié

Tu le vois ce pote de pote un peu relou, qu’essaie de s’accrocher à la moindre personne qui passe pour ne pas passer sa soirée derrière le groupe, dans le passage, à se faire bousculer par tous les gens qui vont pisser ?

Notre conseil : quand ton verre commence à se tarir, approche toi de lui et lance : « Allez vieux, cul-sec ! ». Ému que tu t’adresses à lui, et galvanisé par sa bascule, t’as une chance sur 2 qu’il remette la même.

Celui qui connait bien le barman

Et qui revient les mains chargées de verres toutes les 30 minutes. Tu ne sais pas ce qui est payé, ni ce qui est offert. Et en vrai, t’en as rien à foutre.

Celui qui connait bien son banquier

Et qui revient les mains chargées de verres toutes les 30 minutes. Tu ne sais pas quel est son maximum de découvert autorisé, ni si ton foie te permettra de le découvrir. Mais dans le doute tu es prêt à tenter le coup.

Celui qu'a peur de passer pour un crevard

Et du coup dès que son verre est vide, il propose à la cantonade de recaver tout le monde.

Notre conseil : si en plus il boit plus vite que les autres, ne le lâche pas de la soirée, c’est la chance de ta vie.

Celui qui veut pécho

Lui c’est pas les copains qu’il rince, mais les membres du beau sexe. Il fait partie de ce qu’on appelle dans le jargon les « dalleux ». Quand il paie un coup aux copains (ce qui arrive parfois) c’est forcément pour impressionner la meuf qui traîne avec le groupe. Ou parce qu’il veut pécho l’un d’entre eux.

Celui qui veut te victimiser

Te prendre en « marquage-culotte » comme il dit.

Notre conseil : Si tu te sens en cannes, laisse le faire, et fais semblant d’en avoir un coup dans l’aile. Sûr de lui, il enverra les chevaux, et enchaînera les tournées en espérant te voir tomber au champ d’honneur.

Celui qu'est alcoolique

Tu sais, celui que t’aimes pas trop, et qui boit exactement autant que toi. « Sauf que c’est pas pareil ». Evidemment.

Celui qui se sent obligé

Vous êtes 3. Tout le monde a payé sa tournée sauf lui. Il est un peu tôt pour rentrer. Il attend un peu, et comme personne ne se décide à en remettre une, il y va. A contrecœur. #FauxFrère

Celui qu'est tout simplement ultra généreux

Un peu l’ours pyrénéen de ce top : on sait qu’il est censé en rester quelques uns, et on aimerait franchement en croiser un un de ces quatre. Même si on sait que si ça se faisait, ça finirait sans doute très mal.

Celui qu'est de l'autre côté du comptoir

La fameuse tournée du patron. Carrément le panda pyrénéen de ce top de nos jours. Allez, on est mauvaises langues, dans les vieux troquets ça se pratique encore, faut juste savoir où on met les pieds.

Et vous vous en connaissez d’autres ?