C’était en 1994. Le meilleur film de Jim Carrey allait sortir, et Jim allait devenir la plus grande star du monde en enfilant un masque en bois qui le transformerait en un genre de looney tunes génial et qui chantait la rumba comme personne. On était minus et on riait aux éclats. Et bah vous savez quoi ? Je l’ai revu, The Mask, et je ris toujours pour ma part. (Mais si vous préférez les répliques de nanars, libre à vous).

"Ssssplendide !"

The Mask.

"Mer... credi !"

The Mask, quand il porte pas son masque.

"Petit tu es doué, très doué ; mais tant que je serais dans le métier tu ne seras jamais que le second !"

The Mask.

"- Dis donc mec t’as l’heure s’il te plaît ? - Tu tombes bien mon loulou j’ai remonté ma pendule… Regarde ! Dans deux secondes je te fait couiner le nez et je te fous ton calebard sur la tête."

The Mask, à nouveau.

"Je crois que ce martien veut communiquer !"

The Mask.

"Je suis Sancho de Cuba !"

The Mask, meilleure séquence du film.

"Une petite carpe... Une quille. Une tapette à souris, un poulet en caoutchouc ? Un bazooka ? Madame Kelleway en photo...?"

Les policiers, fouillant The Mask.

"Tu… Tu m’as eu… Billy… Hi, ha, hou ! Hou, ha, hi ! Ha ! Ha ! Haaahhaaa… Serre-moi fort, Johnny… C’est l’dernier rayon d’soleil… Dis à Annie que j’ai pensé à elle jusqu’à la fin… Dis au petit Timothée que son papa ne rentrera pas pour Noël… Dis à Scarlett que ce n’est pas le cadet de mes soucis ! [Prout] Oh, Pardon."

The Mask.

"Et pour toi… ma spécialité ! La sulfateuse !"

The Mask encore.

"Et voilà un petit caniche. Il fallait le tuer, la pauvre bête avait la rage."

Toujours ce fameux masque.

On était jeunes, on était beaux.