Froissard et Martichon, ainsi que leurs acolytes Berthier et Manuceau, s’affrontent depuis des décennies, les uns pour asseoir leur domination sur le monde, les autres pour les en empêcher. Au fil de leurs rencontres, ils distillent des citations à faire frissonner un mort, où la haine et le respect mutuel l’emportent sur l’ambiance de photocopieuse instillée par leurs noms de famille.

"Au fond... nous ne sommes pas si différents, vous et moi"

« Nous cherchons tous les deux à imposer notre modèle de société. Simplement, le vôtre est dépassé… »

"Vous ici !!!!"

« Vous êtes une sangsue, Martichon. »

"T'as deux jours pour quitter la ville et ne plus jamais y foutre les pieds"

« Sans quoi j’éparpillerai le corps de ta fille en suffisamment de pièces pour qu’on puisse jouer au Jenga avec. »

"J'attends ce jour depuis longtemps. Très longtemps."

« Enfin, nous nous rencontrons. »

"Tu ne perds rien pour attendre, Froissard. Je t'aurai !"

« Garde ta salive, Martichon. Tu en auras besoin quand tu seras devant le tribunal ! »

"Rira bien qui rira le dernier, Martichon."

« Je ris parce que tu es un homme mort, Froissard. »

"Comme on se retrouve..."

« Toujours dans mes pattes. Mais c’est la dernière fois. »

"Il n'y a que les montagnes qui ne se croisent pas."

« Et nous ne sommes pas des montagnes. Nous sommes des torrents. »

"Nous sommes les deux faces d'une même pièce de monnaie, Martichon."

« Cette pièce, je l’envoie en l’air. Face, tu meurs, pile, je te tue. »

"Cette ville est trop petite pour nous deux."

« Or, je viens d’acheter une jolie petite maison que j’espère bien conserver quelques années. »

"Tiens, tiens, tiens...."

« Alors, on fouine ? »

"Il n'est pas trop tard pour renoncer, Froissard."

« Soumets-toi, et je me montrerai clément. Qui sait ? Nous pourrions devenir bons amis, toi et moi. »

"Nous avons besoin l'un de l'autre, Froissard. C'est d'ailleurs la seule raison pour laquelle tu es encore en vie."

« Je vous tuerai à la première occasion, Martichon ! »

"Inutile de lutter. J'ai gagné, Martichon."

« Ce n’était que la première manche, Froissard. Il faut 5 sets pour faire un match. »

"Ensemble nous aurions pu faire de grandes choses !"

« La seule chose grande, ici, c’est votre ego, Froissard. »

"Rendez-vous en enfer, Berthier"

« Tu ne l’emporteras pas au paradis, Manuceau… »

"Toujours le même, Froissard. Tu n'apprends pas de tes erreurs."

« Tu es un incorrigible petit fouineur. Mais tout ça, c’est fini. »

"Tu te demandes comment j'ai réussi à faire sauter la banque ? Je vais t'offrir une explication en guise d'éloge funèbre."

« Tu ferais mieux de préparer ton épitaphe, Manuceau. »

"C'était toi. Depuis le début, c'était toi et je n'ai rien vu."

« Oui, c’était moi. J’ai joui de te voir te perdre dans cette enquête alors que j’étais là, juste à côté de toi. »

"Les anciens appelaient ça Némésis, le contraire, le jumeau maléfique. Je préfère parler de Doppelgänger"

« J’ai toujours su que vous étiez un salaud d’ancien nazi, Froissard. »

Virility battle.