Il y a des gens vivants qui sont très riches. Et d'autres qui sont morts, mais qui gagnent toujours beaucoup d'argent aussi. Bien entendu, ils en profitent un peu moins, admettons. Forbes a dressé la liste des stars décédées qui gagnent très bien leur mort (ben oui), et voici les 10 premiers avec leur gain par an (si, si)...

  1. Michael Jackson, 170.000.000 $ sur l'année : le roi de la pop a récolté pas moins de 500 millions d'euros depuis son décès. Parfois, ça a du bon d'être mort, même si cette phrase est un peu bizarre.
  2. Elvis Presley, 55.000.000 $ : et ce, 34 ans après sa mort. Et dire qu'en plus, il est sur une île déserte avec plein d'autres faux morts, il doit bien se marrer tiens.
  3. Marilyn Monroe, 27.000.000 $ : et après on s'étonne que les gamines avides de gloire montrent leur culotte. Marylin, c'est un cauchemar pour l'éducation.
  4. Charles Schulz, 25.000.000 $ : si son nom ne vous évoque pas grand chose, il s'agit du créateur de Snoopy et Charlie Brown, deux personnages qui sont eux bel et bien vivants.
  5. John Lennon, 12.000.000 $ : le quart de Beatles continue de vendre, malgré la séparation officielle du groupe. Imagine...
  6. Liz Taylor, 12.000.000 $ : tout classement a son énigme.
  7. Albert Einstein, 10.000.000 $ : son nom, en tant qu'évocation directe de son génie (parce que sinon Einstein c'est joli, mais bon), est encore beaucoup utilisé à des fins diverses. Il ne vous reste plus qu'à inventer un truc qui restera dans la tête de tout le monde, comme la bombe atomique.
  8. Theodore Geisel, 9.000.000 $ : ça ne vous dit rien ? On le surnommait Dr Seuss. Toujours pas ? Il est le créateur de "quelques" ouvrages pour enfants. C'est aussi de l'un de ses livres qu'est adapté "le Grinch".
  9. Jimi Hendrix, Stieg Larsson, Steve McQueen, Richard Rodgers, 7.000.000 $ : un ex aequo de stars en vrac à quelques centaines de smic près.
  10. George Harrison, 6.000.000 $ : il est assez "rentable" d'être un Beatles mort vraisemblablement. Espérons que les deux restants réussissent quand même à joindre les deux bouts.

Source : forbes via latribune