Top 10 des méthodes de meurtres de nos amis les plantes, elles sont sadiques les bougres

La douleur, par Dendrocnide moroides

Trop mignon le nom de cette plante. En plus un seul frottement et c’est la fin pour tout le monde. La neurotoxine libérée dans la peau provoque une douleur qui peut durer des jours voir des mois, et se caractérise par des boutons rouges sur une zone du corps. Elle peut tuer des chiens, des chevaux, et même des hommes. Allez bisous on va en faire une salade.

Le coup de la corde à linge, par Figuier étrangleur

C’est un arbre qui vit dans la jungle tropicale. Et dans la jungle, avoir du soleil est important, et pour ça le figuier est un gros fdp de la forêt. Une graine de figuier est déposée sur un arbre par oiseau. La graine grandit et va chercher à planter ses racines plusieurs mètres en dessous dans le sol. Ensuite il grandit très vite, entoure ses grosses racines autour de l’arbre de base et utilise ses feuilles pour cacher l’hôte du soleil. Ainsi il meurt et le figuier vit.

L'attaque à l'acide, par Roseau commun

Il existe une guerre chimique entre les plantes. Elles relâchent des produits toxiques afin de se défoncer entre elles et se défendre. Mais Roseau commun est plus fort car il balance de l’acide tellement puissant que ça dissout les racines des autres. Vaut mieux pas l’embrouiller.

Le câlin tentacule, par Droséra

Droséra est trop sympa, elle attire sa proie grâce à photos de nichons et une fois l’insecte posé sur elle, elle referme doucement ses tentacules afin de faire un groooooos câlin.

La méthode de la fausse sortie, par Cobra

Une fois que la proie est à l’intérieur d’elle, Cobra cache la sortie par laquelle la proie est entrée. Du coup elle détient d’autres conduits transparents qui font croire à la victime qu’elle va sortir, alors que pas du tout mdr. Elle se fatigue et se fait digérer lentement, au calme.

Les filaments de la mort, par Genlisea

Genlisea fait croire qu’elle a des racines alors que ce sont des pièges mortels. Ses conduits aspirent en fait la proie. De plus, les poils tournés vers le centre de la plante empêchent la victime de sortir. La plante n’a plus qu’à rajouter quelques épices et son repas est prêt.

La flemmardise, par Grassette

Voici la plante carnivore la moins active du monde. Elle est posée tranquille les feuilles ouvertes, et fait croire qu’elle détient de l’eau ou du nectar grâce à un mucus ressemblant. L’insecte arrive, se fait niquer, et en se débattant accélère le renfermement de la feuille sur lui. Déso pas déso.

La technique du gauffrier, par Dionée attrape-mouche

Sûrement la plus connue des plantes carnivores. Elle attend patiemment qu’un loser arrive et dès qu’il touche deux « poils » différents, le piège se referme. C’est comme quand tu ouvres la bouche très longtemps et que tu la refermes quand la cuillère de compote arrive. De plus si cette plante devient Dieu, elle sera Dieudionée. C’est tout pour moi.

La noyade, par Nepenthes

Nepenthes est une espèce qui regroupe toutes les plantes à pièges passifs. Elles peuvent garder l’eau de pluie dans leur grand tube, mélangé à des produits chimiques. Ainsi quand la proie vient se baigner ou boire, elle se faire avoir, se noie et finir digérer.

La technique de l'aspirateur, par Utriculaire

L’Utriculaire est une plante carnivore qui vit à la surface d’eaux stagnantes. Et comme c’est ultra galère de chasser quand personne ne bouge son cul pour venir vers toi, cette plante a inventé un aspirateur bien meilleur que ton vieux machin d’appart. Ainsi quand un petit insecte s’approche de l’eau, elle tombe dans le piège. Habile.