Des années 50 aux années 90, il existait tout un pan du cinéma pour enfants qui se plaisait à mélanger les prises de vues réelles et le dessin animé. Petit, ça me rendait fou : voir des acteurs, des vrais, interagir avec des personnages dessinés, cela donnait à ces derniers un ancrage dans le réel qui me faisait totalement rêver. Maintenant, j’ai compris que ça n’était qu’un truc, m’enfin il faut reconnaître que Roger Rabbit reste un immense classique.

Qui veut la peau de Roger Rabbit

Peut-être même l’un des meilleurs films de tous les temps. Parodie de film noir, trempette en plus et Jessica Rabbit en Hayworth lookalike qui est le seul lapin à avoir jamais éveillé des pensées érotiques à un humain non léporidophile. Big up au bébé qui fume des cigares et, surtout, à Bos Hoskins.

Mary Poppins

Chem cheminée, chem cheminée… Dans Mary Poppins, il y a toute une séquence où nos héros se retrouvent dans un monde merveilleux peuplé de chasseurs à cour et de promeneurs à canotiers. Et c’est peut-être la meilleure séquence du meilleur film de Disney.

Space Jam

Space Jam est un très mauvais film. Mais Space Jam est aussi et surtout le film que je préférais quand j’étais petit. Il n’y a donc aucune raison que je ne le mette pas troisième de ce classement de manière purement arbitraire.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

Peter et Elliott le dragon

Peter était un petit garçon bien réel avec une réelle petite coiffure des années 70 ; Elliott, lui, était un dragon dessiné. Et moi, j’étais comme un dingue.

La Panthère rose

Certes, La Panthère rose n’est pas à proprement parler un film qui mélange l’animation et la prise de vue réelle puisque seul le générique est animé. Mais ce générique est devenu encore plus célèbre que la série de films consacrée aux déboires de l’inspecteur Clouzot, et il me semble qu’en conséquence il a toute sa place dans le top.

Sacré Graal

Les animations extraordinaires de Terry Gilliam ponctuent les films des Monty Pythons et leur donnent une tonalité plus bizarre encore. Ils ne seraient pas les mêmes sans elles.

Richard au pays des livres magiques

Macauley Culkin joue un gosse victimisé qui se retrouve téléporté dans le monde magique de la littérature. Pas vraiment un mélange : le livre commence en captation et continue ensuite en dessin animé. Mais un classique des enfants des années 90.

Le mélange des genres.

Via : Sens Critique