Certaines œuvres musicales sont tellement cultes que parfois, cela va au-delà des chansons. Comme dans le cas de ces 10 albums. 10 disques tellement connus et appréciés que leur pochette a mis en lumière différents endroits, allant jusqu’à pousser les fans à s’y rendre pour approcher d’une certaine façon la légende. Bien sûr, pour établir un tel classement, il fut indispensable de ne retenir que des albums emblématiques. Des disques cultes de chez cultes, avec des pochettes immédiatement identifiables, dont la célébrité a parfois dépassé le cadre strict de la musique pour devenir une authentique œuvre d’art…

Le passage piéton d'Abbey Road (Londres, Angleterre)

Le 11ème album des Beatles, enregistré aux studios Abbey Road à Londres, a également exploité le passage clouté devant le studio en question pour shooter la photo de la pochette. Une pochette légendaire qui encourage depuis des millions de touristes à reproduire à leur sauce la traversée de Paul, John, George et Ringo, au grand dam des automobilistes.

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"*TUIUIUIUIUIU* Oui allô ? / Oui ce serait pour signaler un lien disparu / Ok on envoie nos équipes d'enquêteurs sur le coup"

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La centrale de Battersea (Londres, Angleterre)

Il aura suffit que Pink Floyd utilise la centrale pour la pochette de son album Animals pour que celle-ci acquiert une célébrité mondiale. Le cochon suspendu entre deux des quatre cheminées y est aussi pour quelque chose.

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Le moulin de Mapledurham (Mapledurham, Angleterre)

Déjà un peu inquiétant à la base, ce moulin situé en plein centre de l’Angleterre, l’est encore plus sur la pochette du premier album éponyme de Black Sabbath. Le fait qu’Ozzy et ses potes aient choisi de rajouter une espèce de sorcière sur la photo, renforce le malaise. Bien joué les gars.

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Il est parti à la ferme des liens cassés pour prendre des petites vacances, il est avec tous ses copains, ne t'inquiète pas.

Le 23 Heddon Street (Londres, Angleterre)

Dernier arrêt à Londres, à deux pas de Picadilly Circus, avec la rue rendue célèbre par David Bowie, à l’occasion du shooting pour la pochette de son The Rise and Fall of Ziggy Stardust and The Spiders From Mars en 1972. Une plaque rappelle aux visiteurs que jadis, Bowie prenait la pose à cet endroit précis et c’est pas plus mal car les choses ont tellement changé qu’il est difficile de reconnaître la pochette du disque.

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Jones Street (New York, États-Unis)

C’est un Bob Dylan tout emmitouflé, contre lequel se blottit une jeune femme (Suze Rotolo, sa partenaire de l’époque), qui figure sur la pochette de The Freewheelin’ Bob Dylan. Un endroit où le troubadour vécut et qui depuis, est devenu un lieu de pèlerinage pour ses fans de passage dans la grosse pomme.

La maison du 19446 Dresden Street (Detroit, États-Unis)

La maison en question, dans laquelle Eminem a grandi, a brûlé mais la rue, elle, est toujours là. Là même qui figure sur la pochette de l’album culte du rappeur, Marshall Mathers.

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Il n'a pas souffert, promis

Les immeubles du 96 et 98 Street Mark's Place (New York, États-Unis)

La pochette emblématique de l’album Physical Graffiti de Led Zeppelin a conféré à ces immeubles une célébrité mondiale. Bien sûr, ni Robert Plant, ni John Paul Jones, ni Jimmy Page n’y vit.

Ludlow Street (New York, États-Unis)

Légendaire groupe de hip-hop, les Beastie Boys avaient choisi cette rue de New York pour illustrer leur album Paul’s Boutique. Aujourd’hui, le magasin que l’on voit sur le disque n’existe plus. Il a laissé sa place à un restaurant spécialisé dans les wraps.

Un hôtel abandonné (Los Angeles, États-Unis)

Quand ils découvrirent cet hôtel nommé Morrison Hotel, les Doors virent l’occasion de poser pour la pochette de leur cinquième album. Devant le refus du propriétaire des lieux, le groupe emmené par Jim Morrison décida de se glisser en douce à l’intérieur le temps que leur photographe fasse quelques clichés à travers la vitrine. Depuis, les Doors sont entrés dans la légende. L’hôtel, lui, a fermé.

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Le zoo de San Diego (San Diego, États-Unis)

Pet Sounds, l’album emblématique des Beach Boys, chef-d’œuvre du génie Brian Wilson en réponse au Rubber Soul des Beatles, possède aussi une des pochettes les plus connues de l’histoire de la musique. On peut y voir les garçons de la plage nourrir des chèvres au zoo de San Diego. Et c’est d’ailleurs en référence au titre de l’album (sons d’animal) et au fait qu’on peut y entendre des sons d’animaux, que cet endroit fut choisi pour la photo d’illustration. Le reste appartient à la légende.

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Il n'a pas souffert, promis

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