Nous ne sommes pas les seuls à aimer dire des méchancetés sur les Disney pour ruiner votre enfance. CollegeHumor le fait aussi très bien ! Nous vous présentons donc les vraies histoires qui sont derrière les Disney, parce que la réalité c’est dur, la réalité ça fait mal, la réalité c’est comme marcher sur un légo.

La petite Sirène

À l’origine, c’était la langue d’Ariel, et non pas sa voix, que la sorcière des mers lui prenait.

Raiponce

Dans l’histoire de Raiponce, le prince tombe de la tour dans un buisson d’épines. Il est par la suite aveuglé et obligé d’errer dans la forêt dans d’atroces souffrances pendant des années.

Hercule

Hercule accomplit ses douze travaux pour se repentir d’avoir tué sa femme et ses enfants après avoir été rendu fou par Héra. Il est aussi nu la plupart du temps…

Mulan

Dans la première version de l’histoire de Mulan, Mulan revient chez elle après la guerre et constate que son père est mort depuis des années et que sa mère s’est remariée. Elle a aussi été choisie contre son gré pour être concubine, un destin qu’elle fuit… en se suicidant.

« Merci de nous avoir sauvé, maintenant va au palais… le Khan veut coucher avec toi »

Cendrillon

Pour tenter de marier une des ses filles au prince, l’affreuse Belle-Mère les force à se couper les orteils afin que leurs pieds puissent entrer dans les pantoufles de verre.

« Arrête de pleurer et FAIS-LE ! »

Pinocchio

Pinocchio finit par assassiner Jiminy Cricket avec un marteau.

Tarzan

Le roman Tarzan seigneur de la jungle se termine sur Tarzan qui poursuit Jane jusque dans sa ville… Baltimore dans le Maryland. Quand il y arrive, il constate qu’elle a déménagé dans le Wisconsin, alors il y va aussi… Vous voyez, parfois, Disney rend les histoires PLUS intéressantes !

La Belle au bois dormant [CENSURÉ]

Non. Nous n’allons pas dessiner celui-là. Croyez-nous sur parole, vous n’avez pas envie de voir ça…

Rêve ta vie en couleur, c’est le secret du bonheur. Mais d’abord, coupe-toi la langue pour devenir humaine. Le bonheur attendra.

Source : CollegeHumor