Phil Jones a un certain sens de l’absurde qui n’est pas dénué de poésie. Ses illustrations et ses strips rendent compte de ce regard un peu effrayé qu’il porte sur la société. Le réel et l’imaginaire s’y mélangent et les valeurs se renversent. Comme nous, de rire, évidemment.

« Je vais foutre ta journée en l’air »

Mauvais sens

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Il n'a pas souffert, promis

Excusez-moi, c’est quoi le code du Wifi ?

Jésus

– Bonjour, j’aimerais me faire rembourser ce truc de myrrhe…

– Vous avez un reçu ?

– Non, c’était un cadeau.

– Alors je peux seulement vous donner un avoir pour le magasin.

Myrrhamax : le magasin de la myrrhe.

« Allez, juste un petit sourire, c’est pour mon blog de foodporn ! »

« Tu es sûr que c’est là que tu l’as perdue ? »

« Comment tu veux qu’on rivalise avec ça ? »

« Je veux juste un câlin »

« Au Japon, je suis quelqu’un de très important »

« Aaaaahhh ! Ne me dis pas que t’es allé récupérer ça dans l’évier sale ! »

« Ca te dérangerait de te décaler ? Les pompes puent, à côté, là. »

Frédéric attend que quelqu’un le pousse. Ca n’arrivera jamais.

« Non merci, j’ai apporté de quoi déjeuner. »

Le monde est absurde, rendons le plus absurde encore.

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