Parfois, on a très très envie de se barrer en vacances. Le problème ? C’est qu’on est le 19 février et que, du coup, ce n’est pas vraiment possible. La solution ? Lire ce merveilleux top illustré avec amour et passion.

La Gomera

Sur cette superbe île essentiellement agricole, certains habitants ont la particularité de parler le Silbo, une langue sifflée classée au patrimoine immatériel de l’humanité… Pratique pour communiquer d’une vallée à l’autre. Par ailleurs, La Gomera est le spot idéal pour les marcheurs puisqu’on y trouve moult sentiers balisés. Un peu moins pour les grosses flemmasses de touristes à la recherche de plages luxuriantes (il y en a peu).

Crédits photo (CC BY-SA 3.0) : Rebexho

L'île Lanzarote et ses paysages volcaniques

Elle est l’une des îles les moins visitées des Canaries. Connue pour son aspect lunaire tout à fait particulier, les visiteurs s’y rendent souvent pour découvrir ses plages de sable noire. Vous pourrez également y visiter le parc national de Timanfaya composé de volcans de type hawaïen. Et pas de stress, la dernière éruption a eu lieu en 1824 donc a priori, il y a peu de chances que vous y passiez.

Crédits photo (CC BY-SA 3.0) : Lviatour

L'île de Formentera, la petite dernière des Baléares

C’est la plus petite île des Baléares qui se trouve au sud d’Ibiza. Là-bas, les plages aux allures caribéennes sont préservées grâce à des systèmes de filtrage naturel. Par ailleurs, à mi-chemin entre cette dernière est sa voisine plus fêtarde, on peut trouver l’île S’espalmador majoritairement nudiste si l’envie vous prend d’aller gambader nu sur les galets.

Crédits photo (CC BY 2.0) : ximateix!

L'île de Cabrera, ancien camp d'internement pendant les guerres napoléoniennes

Ce qui, de prime abord, peut potentiellement rebuter. Néanmoins cette île déserte et presque inhabitée promet de très belles randonnées. Le mieux étant de s’en tenir à une journée puisqu’il n’y a que 12 couchages de disponibles sur l’île.

Crédits photo (CC BY 3.0) : Kufoleto

L'île de Ons où l'on peut manger de l'octopus

Sur cette petite île aux belles plages de sable blanc, on peut goûter la spécialité locale : il s’agit d’un plat à base d’octopus frits et de sauce « garlic ». Là-bas, la population est constituée d’une forte communauté de pêcheurs qui a, certes, diminué mais perdure.

Crédits photo (CC BY 2.0) : Angel Torres

Les Iles Cies, tout à fait sauvages

Cette magnifique archipel s’apparente plus à une réserve naturelle qu’autre chose. Et on préfère vous prévenir, il n’y a pas grand chose à faire puisqu’il n’ y a ni places de voitures, ni restaurants, ni hôtels. Par ailleurs, pour éviter de se coltiner plein de touristes tout suants, l’accès est limité à 2 200 personnes par jour. Plutôt pratique.

Crédits photo (CC BY-SA 4.0) : Iria González Sierra

El Hierro, la plus petite des îles Canaries

Elle a beau être minuscule, elle n’en est pas moins très en avance en terme d’exploitation des énergies renouvelables. Là-bas, grâce aux éoliennes, on est parvenu à s’affranchir des techniques traditionnelles de production d’électricité. C’est la première île qui combine énergie hydraulique et éolienne dans le but de s’auto-suffire entièrement.

Crédits photo (CC BY 2.5) : Eckhard Pecher

La Graciosa que l'on visite en vélo

Dépourvue de rues goudronnées, l’idéal pour se déplacer sur cette île est de louer un vélo pour la journée. Sachez que le village principal est composé de moins de 700 habitants et que la plupart des villas sont des résidences secondaires appartenant aux Canariens.

Crédits photo (CC BY-SA 4.0) : Filip Rojík

L'île Fuertaventura pour les sportifs

Sur cette île, on pratique le wind surf. Également dotée de rivages de sables fins, les touristes venus essentiellement pour s’affaler sur la plage et bronzer tranquillement y trouveront tout de même leur bonheur. Par ailleurs, pour les plus téméraires, il est possible de se rendre au sommet du Pic de Zarza, haut de 807 mètres. Certes, il est fréquemment précisé qu’il s’agit d’une randonnée simple à effectuer mais on vous connaît, bande de larves.

Crédits photo (CC BY-SA 3.0) : H. Zell

La Palma et ses bananeraies

Cette jolie île vit essentiellement de ses exploitations agricoles et notamment celles de la banane. Les bananeraies recouvrent 50km de sa surface. La diversité de paysages promet bien de belles perspectives aux randonneurs qui viennent y séjourner. En revanche, si vous n’aimez pas marcher, FUYEZ.

Crédits photo (CC BY-SA 3.0) : Lviatour

Voilà quelques joyaux encore méconnus que l’on peut trouver au large des côtes espagnoles.

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Source : Condé Nast Traveler, Wikipédia, Kayak