Le nouveau locataire de la Maison Blanche a pris beaucoup de décisions inconsidérées et pour la plupart basées sur des mensonges ou simplement du vent, depuis sa prise de fonctions. Une des dernières en date et pas des moindres : le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris, qui entend œuvrer pour contrer les effets du réchauffement climatique dans le monde en privilégiant entre autres mesures, les énergies propres. Mais Donald de tout ça, il s’en fout car il n’y croit pas et de toute façon, il ne sera plus là pour assister au désastre. Tout va bien pour lui et ses brillants conseillers. La preuve, il faisait plutôt frisquet à Washington DC le jour de son investiture devant une foule clairsemée ! Plutôt ironique vu que les USA sont le pays qui devrait le plus morfler des conséquences de sa décision dans le pire des cas…

Miami (États-Unis)

Bye bye Miami Beach qui est amené à totalement disparaître sous les eaux si le réchauffement climatique se poursuit. Enfin, il resterait environ 1% de la ville selon les estimations des experts du New York Times. C’est d’ailleurs là que Trump possède l’une de ses plus fastueuses demeures et c’est aussi là que trônent actuellement sur le rivage, bien vulnérables, les trois impressionnantes tours de son complexe résidentiel. Maigre consolation si les choses ne s’arrangent pas : ses baraques seront les premières à prendre l’eau.
La montée des eaux qui, entre temps, coûterait quelque chose comme 2,5 milliards de dollars par an.

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Il n'a pas souffert, promis

La Nouvelle-Orléans (États-Unis)

On reste aux États-Unis, avec une ville qui a déjà maintes fois chargé, au fil d’ouragans et autres tragiques catastrophes naturelles. Le scénario le plus pessimiste ne laisse que peu d’espoir aux habitants de la Nouvelle-Orléans qui serait submergée à 100% elle aussi.

Tampa (États-Unis)

Après Miami, une autre ville située en Floride. Mais bon, ce n’est pas une surprise car si un état est bien sûr de disparaître tel l’Atlantide si les eaux montent, c’est la Floride. Triste sort pour le sunshine state…

New York City (États-Unis)

Une autre ville chère à Donald Trump. Tellement chère qu’il voulait d’ailleurs y rester pour gouverner, peu enclin à déménager à Washington. Pourtant, à Washington DC, si le réchauffement se poursuit, les risques sont moindres. 39% de la ville sont vulnérables face à la montée du niveau des océans, dont Brooklyn, le Queens, le Bronx et quasiment tout Manhattan bien sûr, où se trouve la Trump Tower. Et non Donald, même si elle est très haute, elle ne le sera jamais assez…

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Il n'a pas souffert, promis

Boston (États-Unis)

Une autre ville américaine qui pourrait être détruite à plus de 37% dans le futur à la suite de la fonte d’une grosse partie des glaciers. Terminé Havard. L’école est finie !

Canton (Chine)

La ville d’Asie la plus exposée. La montée des eaux qui coûterait plus de 13 milliards par an. Des dépenses qui pourraient en plus se montrer tout à fait inutiles…

Bombay (Inde)

Ce sont globalement 40 millions d’Indiens qui sont directement menacés par la montée des eaux due au réchauffement climatique. Bombay quant à elle, pourrait tout simplement être rayée de la carte.
Heureusement, il nous restera le poulet vindaloo du resto de Trump dans la Trump Tower.

Nagoya (Japon)

Quatrième plus grande ville du Japon en terme de population, Nagoya sera la plus impactée du pays en cas de super inondation. Une ville qui avait déjà été pratiquement détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale suite à de très nombreux bombardements.

Shenzhen (Chine)

Plus de 10 millions de personnes sont concernées par la montée des eaux dans cette ville située aux abords de Hong-Kong.

Osaka (Japon)

Le Japon est le seul pays en dehors des États-Unis et de la Chine à placer plusieurs villes de tailles considérables dans le top 10. Malheureusement prévisible si on considère qu’il s’agit d’une île et donc quoi qu’il en soit, de l’une des nations les plus vulnérables. Mais les japonnais au moins, ils l’ont signé l’Accord de Paris.

On se saurait trop recommander à Donald de regarder le film Le Jour d’après, qui si il ne fait pas preuve d’une rigueur scientifique exceptionnelle, a au moins le mérite de paraître désormais de plus en plus plausible.