Quand on produit un être vivant de type humain il est souvent, voire presque tout le temps obligatoire de passer par la phase accouchement, or cette phase accouchement s’accompagne couramment d’une péridurale afin de minimiser les douleurs ressenties pendant l’acte. Mais certaines femmes optent toutefois pour d’autres méthodes ce que nous allons dès à présent explorer main dans la main.

La masturbation

C’est un article de Vice (source à retrouver en conclusion) qui révèle cette nouvelle méthode alternative assez étonnante qui consiste à se tripoter la nouille pendant qu’on éjecte le rôti. Pas con dans l’absolu, même si perso je flipperais d’imprimer la mémoire de l’accouchement chaque fois que j’aurais un orgasme plus tard dans la vie ce qui fait moyennement plaisir. Toujours est-il que des études montrent que les hormones convoquées lors d’un coït sont les mêmes que lors de l’accouchement. Bon bah allez, du coup, on tente.

L’acupuncture

Star des méthodes thérapeutiques, cette médecine traditionnelle chinoise sert à pas mal de trucs comme soigner du stress, arrêter la clope, perdre du poids. Bref en gros, on te plante de très fines aiguilles dans des points très précis du corps (pas les yeux, rassure-toi), ça ne fait pas mal, au pire ça picote, et surtout ça atténue des douleurs très localisées. Alors attention, on ne pratique pas l’acupuncture pendant l’accouchement (ce serait un tout petit peu galère) mais plus en prévention de manière à atténuer la douleur des contractions.

Le protoxyde d’azote

Dit comme ça, ça fait un peu peur. Mais en fait c’est pas si ouf que ça. C’est un mélange gazeux (qui n’a rien à voir avec un prout, je vous vois venir) d’oxygène et de protoxyde qui s’applique sous forme de masque sur le visage, on inhale les gaz qui s’en échappe avant chaque contraction et ça réduit le mal absolu. Ça peut même provoquer une étrange gaieté un peu comme un gaz hilarant. Rien à voir avec un anesthésique, le protoxyde d’azote ne fait pas dormir et ne représente aucun danger pour le bébé.

L’hypnose

Evidemment l’hypnose fait partie des grandes méthodes alternatives. Ça demande un peu de préparation et contrairement aux croyances, ça ne te plongera pas dans un sommeil profond mais plutôt une sorte d’état second dans lequel tu te sens relaxée et déconnectée du massacre que ton vagin est en train de subir.

La sophrologie

Comme toujours, la méthode consiste à se relaxer, à mieux respirer, à se sentir en harmonie avec son corps même si on a techniquement l’impression de le voir tranché en deux. Avec cette pratique, on apprend en amont à visualiser des étapes de l’accouchement ce qui permet de mieux les affronter au moment venu et de maîtriser son souffle de façon à ce qu’on douille un peu moins.

L’homéopathie

En ce qui concerne l’homéopathie c’est pas tant qu’elle sert à réduire la douleur mais plus la durée du travail. On peut d’ailleurs la combiner avec d’autres méthodes histoire de mettre toutes les chances de son côté.

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Dans tous ses films, il y a une meuf enceinte qui se prend des coups de pieds dans le bide donc ça devrait t’aider à sortir le morceau sans dégât.

ALERTE ALERTE ALERTE ALERTE, nous ne sommes pas médecins (enfin moi une fois j’ai guéri un moineau mais ça s’arrête là sur mes compétences médicales) donc bien sûr ces conseils n’ont aucune valeur médicale en soi. Si jamais c’est ce que tu comptais faire, ne choisis pas une de ces méthodes sans en parler à ton médecin. Logique, quoi.

Sources : Parents, Vice